Bonjour tout le monde !

Notre initiative « Changeons pour la planète – Prenons soin de l’humanité » a réalisé une vidéo pour inciter nos volontaires à se joindre la grève mondiale en ligne pour le climat.  

Malgré la pandémie, des volontaires ont pu se réunir en Italie pour en savoir plus sur ce qu’ils peuvent faire en faveur de la transition écologique, dans leur vie et au sein de leur communauté. Une volontaire a écrit un blogue sur son expérience. 

Nous avons célébré le 5ème anniversaire de l’initiative « Change and Care » et fait le tour de ses réalisations dans un article. 

Vir(a)gens, un court-métrage réalisé par FEC, notre membre portugais, offre plusieurs récits de résilience et de mobilisation pour le climat au Portugal et au Mozambique. Il a été présenté le 18 juin lors d’un webinaire avec les députés européens portugais Carlos Zorrinho, Graça Carvalho et José Gusmão. 

Josianne Gauthier, notre Secrétaire générale, a donné une interview à notre allié JESC à propos de l’écologie intégrale.  

Dans le cadre de notre approche du changement systémique, le secrétariat de la CIDSE a entrepris un processus d’évaluation de l’impact écologique de nos comportements au bureau. Nous avons lancé une consultation auprès de nos membres pour savoir comment ils analysaient et ajustaient leur impact écologique. Les enseignements tirés de cette consultation ont été publiés dans « L’empreinte écologique de la CIDSE ». On trouve sur ce site web des témoignages et des conseils pour adapter les voyages, les activités, les événements et la vie au bureau afin de réduire la consommation de produits. 

Pour annoncer et partager la création du site web « L’empreinte écologique de la CIDSE », nous avons organisé un webinaire avec nos organisations membres. 

De juillet à octobre, des camps nationaux sur les modes de vie durables ont eu lieu en Allemagne, en Espagne, en Italie, en Suisse, au Royaume-Uni et en Slovaquie. 

Le 5ème anniversaire de Laudato Si’ a été marqué par une semaine d’action, du 18 au 28 mai. Avec Franciscans International, Iglesias y Mineria et le Mouvement catholique mondial pour le climat, nous avons co-organisé un webinaire sur les méfaits de l’extractivisme et la nécessité d’une conversion écologique. 

Des représentants des conférences épiscopales européennes, ainsi que des organisations et des mouvements catholiques, se sont retrouvés à Bruxelles le 28 mai pour la Troisième journée européenne de réflexion consacrée à Laudato Si’ . 

À l’occasion de la journée internationale des droits des femmes, nous avons interviewé une jeune militante pour le climat afin de discuter des atouts et des combats des femmes au sein du mouvement pour le climat.  

Nous avons invité des collègues féminines de la Fondation Heinrich Böll à nous livrer un point de vue critique et féministe sur le Pacte vert pour l’Europe dans un article publié sur notre blogue. 

Pour inciter nos volontaires à se joindre à la grève mondiale en ligne pour le climat, nous avons réalisé une vidéo dans le cadre de notre campagne « Changeons pour la planète – Prenons soin de l’humanité ».

Nous avons publié une vidéo de 5 minutes résumant les interventions de participants du monde religieux, scientifique et de mouvements du Sud à notre webinaire sur la COVID-19 et la crise climatique.

Avec 14 autres ONG des secteurs du climat, de l’environnement et du développement, la CIDSE a co-publié une note de position commune qui propose une série de recommandations en réponse à la communication de la Commission européenne sur le Pacte vert pour l’Europe. Ce document formule des principes directeurs et des recommandations politiques afin de garantir que le Pacte vert pour l’Europe soit bénéfique pour les populations des pays partenaires de l’UE, le climat et la biodiversité. 

Suite au report de la COP26, nous n’avons pas tardé à souligner l’urgence de poursuivre l’action climatique dans une déclaration. Nous nous sommes également associés à un message interreligieux sur le même sujet lors de la Journée de la Terre. 

Chiara Martinelli, notre conseillère principale sur les questions de justice climatique, a publié une tribune dans Earth Beat sur les enseignements que nous pouvons tirer de la pandémie pour l’action en faveur du climat. 

Le Comité de liaison interconfessionnel a réuni divers acteurs religieux pour discuter de l’action confessionnelle à l’approche de la COP26. En collaboration avec la CIDSE, une série de trois webinaires a été organisée sur les différentes traditions religieuses, l’agenda de la COP26 et des récits d’espoir.  

En partenariat avec la Commission COVID-19 du Vatican – dont la CIDSE fait partie – ainsi qu’avec l’Institut de Potsdam pour la recherche sur l’impact climatique, CAFOD, GCCM, la COMECE et Caritas Internationalis, nous avons organisé un webinaire pour discuter des approches communes entre les acteurs du Sud, les scientifiques et les acteurs religieux face à la crise climatique et celle de la COVID-19.  

La CIDSE et une coalition ont acheté un encart publicitaire dans le Financial Times pour aviser le public du succès de la pétition : 847 000 citoyens se sont prononcés contre le RDIE. Au travers de cette annonce, nous visions un lectorat d’élite composé de décideurs et d’acteurs du monde des affaires. Nous nous sommes également référés à cette pétition tout au long de l’année, à chaque rencontre que nous avons eue avec des responsables politiques de l’UE.

#STOPISDS campaign made it to the Financial Times. We won’t let the voice of 847.000 citizens unheard! We demand mandatory #HumanRights #duediligence law at #EU level -strong #BindingTreaty at #UN level – Stop #ISDS @FOEEurope @TNInstitute @milieudefensie pic.twitter.com/U6j5F3D7NG

— CIDSE (@CIDSE) February 3, 2020

En janvier, pour le lancement de la campagne, des militants déguisés en loups (allusion aux « corporate wolves » en anglais) ont envahi les rues de Davos en marge du Forum économique mondial.

Nous avons organisé une course symbolique entre les entreprises et les citoyens en faveur de la justice, et remis notre pétition à Frans Timmermans, Vice-président de la Commission européenne.

La préparation de la note politique Finance for agroecology, more than just a dream? a été promue dans les médias, notamment par une couverture illustrée originale et une infographie, la constitution d’un dossier de presse comprenant un communiqué de presse, un article d’opinion et un article d’information, et une diffusion sur les réseaux sociaux. 

Grâce à notre partenariat stratégique avec le réseau Agricultures et Cultivate !, nous avons approfondi nos travaux sur l’agroécologie et le genre dans un numéro spécial du magazine Farming Matters consacré aux thématiques interconnectées de l’économie alternative, du féminisme et de l’agroécologie. La version finale, fruit d’une année de travail, livre une série colorée et enrichissante de récits de terrain que complète une analyse systémique. À partir du webinaire organisé pour marquer le lancement du magazine, nous avons également publié une transposition graphique des débats qui montre les points d’intersection entre l’agroécologie et le féminisme. 

Anabel Torres, fondatrice et directrice du Centre de communication et d’éducation populaire (CANTERA), a rédigé un blogue sur son expérience dans le développement de processus d’autonomisation des femmes et des hommes, la promotion de l’équité entre les sexes et le développement de l’agroécologie au sein de communautés rurales des municipalités du Nicaragua.  

Dans une tribune publiée à l’origine par ARC2020, nous critiquons les fausses solutions de la stratégie européenne  « De la ferme à la table » inscrite dans le Pacte vert pour l’Europe. 

Nous avons publié un encart publicitaire dans le magazine EU observer (voir p.38) afin d’attirer l’attention des décideurs sur nos travaux sur l’agroécologie et son financement.

La CIDSE a lancé une évaluation des flux financiers destinés à l’agroécologie (en examinant l’ensemble du portefeuille du Fonds vert pour le climat et les contributions de l’UE au FIDA, à la FAO et au PAM). Nous avons publié une note politique intitulée « Finance for agroecology: more than just a dream? »  qui met en évidence les principales conclusions de cette recherche et apporte de nouvelles preuves du manque de financements à destination de l’agroécologie, tant au niveau national qu’international. Cette note a été utilisée pour poursuivre ou entamer des conversations avec des représentants clés des parties prenantes ciblées.  

La CIDSE a rejoint la EU Food Policy Coalition et officiellement soutenu plusieurs appels et déclarations, dont le document d’orientation « Raising the ambition on global aspects of the EU Farm to Fork strategy ». 

La CIDSE et d’autres organisations de la societé civile ont adressé une lettre conjointe à M. António Guterres, Secrétaire général des Nations unies pour critiquer le fait que le Sommet des Nations unies sur les systèmes alimentaires sera principalement organisé par le Forum économique mondial et le siège des Nations unies, sans y associer la FAO et les mouvements agricoles. 

La 3ème conférence ministérielle UE-Union africaine sur l’agriculture s’est tenue en juin 2019. Les engagements pris peuvent profiter à l’agriculture familiale, aux jeunes et aux femmes, et reconnaissent que les systèmes alimentaires territoriaux, l’agroécologie et l’agroforesterie sont des approches valables, sans parvenir toutefois à réglementer le commerce et les entreprises, ce qui pourrait annihiler les avancées. La CIDSE a signé ces recommandations pour les systèmes alimentaires, à l’attention du Sommet UE-Union africaine. 

La pandémie de la COVID-19 a aggravé les conditions de vie déjà impossibles des communautés vulnérables confrontées à l’oppression résultant de conflits autour des ressources à travers le monde. Amal Sayam, militante et défenseuse des droits des femmes à Gaza, a relaté des situations courantes: des femmes piégées par la violence domestique, avec des charges de soins supplémentaires et devant faire face à une précarité économique. Une autre chercheuse a mis l’accent sur la vulnérabilité particulière de Gaza face à la pandémie et au double enfermement résultant du blocus et du confinement, et sur la profonde douleur émotionnelle liée à l’augmentation constante des restrictions.

Le 22 juin 2020, Kone Massa, porte-parole de la Convergence mondiale des luttes pour la terre et l’eau – Afrique de l’Ouest (GCLWS WA) – a été visé par une attaque. De nombreux signataires à une déclaration de soutien, dont la CIDSE, ont exprimé leur inquiétude pour sa sécurité et leur solidarité avec les militants qui, à travers le monde, luttent pour la justice dans l’exploitation des ressources.

En 2020, notre travail de plaidoyer autour d’Israël et du territoire palestinien occupé a surtout été axé sur la menace proférée par le gouvernement israélien d’annexer certaines parties de la Cisjordanie. En collaboration avec d’autres organsisations de la société civile basées à Bruxelles, la CIDSE a signé plusieurs lettres et déclarations pour informer l’Union européenne et lui demander de prendre des mesures contre l’annexion imminente lors de moments clés de décision de l’institution.

La CIDSE a par ailleurs dénoncé le plan « Peace-to-Prosperity » conçu par les États-Unis, qui se calque entièrement sur l’agenda israélien sans tenir compte de la dignité et des droits des Palestiniens.

Au vu de la fragilité et du manque de moyens du système de santé dans le territoire palestinien occupé, ACT Alliance-EU et la CIDSE ont publié une déclaration appelant l’UE à libérer des fonds d’urgence et à faire pression sur les autorités israéliennes pour qu’elles lèvent les restrictions de mouvement et mettent fin aux confiscations de biens.

Afin d’informer le sommet UE-Union africaine reporté à une date ultérieure, la CIDSE a co-organisé et co-signé une déclaration de la société civile africaine sur le partenariat Afrique-Union européenne.

Malgré les retards rencontrés dans nos échanges avec des acteurs africains sur le vécu sexo-spécifique des droits fonciers, notre organisation membre irlandaise Trócaire a publié une étude préliminaire intitulée « The gendered impacts of large-scale land based investments and women’s responses ».

En guise de préparation à une synergie permanente entre nos diverses actions de plaidoyer relatives au foncier, aux entreprises et aux droits humains, notre organisation membre Entraide et Fraternité a publié une étude sur les abus commis par la société belge SIAT, l’un des plus grands propriétaires de plantations d’huile de palme en Afrique. SIAT est impliqué dans l’accaparement de terres, la pollution par des intrants agricoles industriels et la déforestation, autant d’activités qui menacent la production et l’accès à la nourriture locale et la santé des habitants.

Dans les premiers jours qui ont suivi la rupture du barrage de Brumadinho au Brésil, nous avons publié une déclaration afin de rassembler les ressources et les investigations menées par nos membres et partenaires, et pour documenter cet exemple d’injustice à partir des informations recueillies jusqu’alors.

Une vidéo réalisée par nos partenaires. 

Suite à la visite rendue à la communauté de Brumadinho par Mgr Bruno-Marie Duffé, Secrétaire du Dicastère pour la promotion du développement humain intégral, nous avons partagé ses réflexions et la signification de sa visite pour la communauté dans un article posté sur notre site. Nous avons également apporté notre concours à Iglesias y Minería pour traduire en anglais la vidéo réalisée afin de restituer le sens spirituel de cette visite.

À l’occasion de la 40ème session du Conseil des droits de l’homme, nous avons co-organisé avec des partenaires un débat sur les catastrophes minières au Brésil et en République démocratique du Congo, pour bien montrer que ces catastrophes ne relèvent pas uniquement de la politique nationale, mais sont en fait inhérentes à l’activité mondiale du secteur minier.

Le séminaire que Justice, Paix et Intégrité de la Création (JPIC) a organisé à Rome, au mois de septembre, sur le thème de l’exploitation minière, a permis d’approfondir notre réflexion sur la question avec des alliés, des organisations membres et des partenaires.  Ce séminaire s’inscrivait dans le prolongement du Forum social thématique de 2018 sur l’exploitation minière et l’économie extractive et a permis de poursuivre les débats sur les solutions alternatives à Rome, en présence d’un représentant du Dicastère pour la promotion du développement humain intégral.

La CIDSE a participé à l’Assemblée générale de Iglesias y Minería en Argentine, aux côtés de soixante laïcs, Évêques, prêtres, religieux et religieuses et pasteurs, hommes et femmes venus de dix pays d’Amérique latine (Argentine, Brésil, Chili, Colombie, Équateur, Guatemala, Honduras, Mexique Pérou et Salvador,) et du Royaume-Uni. Lisez la lettre ouverte que les participants ont adressée aux populations touchées. Des collaborateurs de la CIDSE et de ses organisations membres se sont également rendus à Brumadinho pour observer directement les ravages causés par la catastrophe et écouter les témoignages de la communauté.

Nos alliés de la COMECE ont facilité un dialogue entre la CIDSE, nos partenaires brésiliens et des représentants de l’Église et de l’UE. Les participants ont analysé les moyens de soutenir les communautés indigènes pour qu’elles puissent accéder à la terre et protéger le patrimoine culturel et naturel amazonien dans le contexte des négociations en cours sur l’accord d’association UE-Mercosur, le plan d’action de l’UE sur les droits de l’homme et la démocratie et le Traité juridiquement contraignant des Nations unies relatif aux sociétés transnationales et aux droits de l’homme.

Dans une tribune publiée par l’EU Observer, deux éminents Cardinaux ont apporté leur soutien à l’appel lancé par des Évêques en faveur d’une législation européenne en matière de diligence raisonnable.

À l’instar des Évêques, des milliers de femmes au sein de l’Église, dont Sœur Mary John Mananzan, se battent contre les abus commis par les entreprises et sont une composante essentielle du combat pour la justice. Sœur Mary a publié un blogue intitulé « The place of women is in the struggle ».

Le rôle crucial d’un traité des Nations unies sur les entreprises et les droits humains dans des cas comme celui de Cerrejón, en Colombie, a été évoqué lors d’une interview avec des représentantes du CINEP.

Le cinquième anniversaire de la rupture de la digue de résidus de Fundão, dans la municipalité de Mariana (État de Minas Gerais, Brésil), nous a donné l’occasion de faire le point sur ce dossier, au travers d’un article intitulé « Impunity still reigns ».

Nous avons plaidé pour un renforcement des cadres juridiques afin de soutenir des activités commerciales responsables, soumises à des obligations claires pour tous.

La CIDSE a soumis une contribution à l’OEIGWG (groupe de travail intergouvernemental à composition non limitée sur les sociétés transnationales et autres entreprises) sur la question des droits humains, dans le cadre de son engagement continu dans le processus de rédaction d’un traité des Nations unies sur les entreprises et les droits de l’homme. La CIDSE a par ailleurs rédigé des recommandations à l’approche de la 6ème session de l’OEIGWG au mois d’octobre.

Avec le soutien de la CIDSE, plus de 230 Évêques ont publié une déclaration dans laquelle ils réclament un devoir de diligence obligatoire dans les chaînes d’approvisionnement.

🚩❗️❗️ In today’s @FT + than 300 Members of Parliaments worldwide urge States to actively engage in the UN #BindingTreaty to ensure that people’s dignity & rights are prioritised over private profits >See here their: https://t.co/6Tvtcgx1Es
⏰Time to #StopCorporateImpunity ! pic.twitter.com/n8tQozgege

— Dismantle Corp Power (@StopTNCimpunity) October 27, 2020

En octobre, à l’approche de la session des Nations unies à Genève, nous avons fait entendre notre voix et insisté pour que la dignité des personnes soit une priorité et qu’elle soit garantie partout dans le monde, en faisant paraître un encart publicitaire dans le Financial Times.

Avec nos alliés, nous avons formulé une proposition reprenant les éléments essentiels que la société civile veut voir figurer dans une législation européenne sur le devoir de diligence obligatoire.

Dans une étude de l’accord commercial entre l’UE et le Mercosur, nous avons mis en garde contre les menaces que cet accord fait peser sur le climat, la protection de l’environnement et les droits humains.

Nous avons coordonné et collaboré à la déclaration des Évêques d’Afrique de l’Ouest en faveur du Traité des Nations unies sur les entreprises et les droits de l’homme.

Nous avons commémoré le 1er anniversaire de la catastrophe du barrage de Brumadinho et soutenu la campagne « Brown January ».

Nous avons remis au Commissaire européen à la justice un projet de recommandation de principes pour la législation européenne sur le devoir de diligence en matière de droits humains et environnementaux.

Nous avons organisé un séminaire intitulé « Putting an end to greed: the interaction between respect for human rights and the protection of nature » et pris une part active à la session virtuelle des Nations unies sur le traité contraignant, au mois d’octobre, à Genève.

La série de webinaires mondiaux « Right to Say NO: Learning from Global Struggles » se concentre sur le droit des communautés à donner leur consentement ou pas à la présence de projets d’extraction minière sur leur territoire.

En collaboration avec le REPAM, la CIDSE a organisé une visite pour les journalistes, dans divers projets et communautés avec lesquels nos partenaires travaillent en Amazonie, par-delà les frontières du Pérou, de la Colombie et du Brésil. Les journalistes et les diffuseurs ont été proposés par nos membres, et sélectionnés sur la base de la langue et de l’expertise. À la suite de cette tournée, les journalistes ont publié de nombreux articles de presse et reportages audio-visuels sur le Synode et ses possibles répercussions pour la région amazonienne.

La CIDSE était directement représentée lors du point de presse officiel du 14 octobre sur le Synode pour l’Amazonie. Lire le communiqué de presse complet.

Les préparatifs du Synode ont débuté par une conférence internationale sur l’écologie intégrale, tenue à l’Université de Georgetown, Washington, D.C., à l’invitation du REPAM, qui a servi de répétition générale pour la CIDSE, ses alliés et partenaires en vue du Synode.

Le Synode pour l’Amazonie s’est avéré plus qu’un événement, et bien plus qu’un processus d’éveil spirituel, il aura été au-delà des retrouvailles entre bon nombre d’acteurs sociaux essentiels de l’Église catholique en Amérique du Sud. Il a incarné le souffle de Laudato Si’ sur un territoire donné et emblématique, à un moment où le monde était attentif.

Concrètement, le Synode pour l’Amazonie aura été pour nous l’occasion unique de développer notre réseau, de partager notre expertise et de contribuer à un véritable changement institutionnel. Nous avons pu constater combien nos contributions avaient influencé le document final, les résultats (y compris dans les formulations se rapportant aux modes de vie durables), ainsi que le suivi qui se poursuivra en 2020.

Notre présence au Synode:

Parmi les invités spéciaux du Synode figuraient notre Secrétaire générale Josianne Gauthier ainsi que Mgr Pirmin Spiegel, Directeur général de MISEREOR, organisation membre allemande de la CIDSE. Les contributions de nos membres ont été nombreuses et diverses. Une délégation de la CIDSE est restée à Rome d’un bout à l’autre du Synode et a pris part à une série d’activités organisées sous la bannière  « Notre maison commune ».

Au-delà du travail remarquable de ses membres et de ses partenaires – qui ont apporté leur concours au travail théologique, aux moments spirituels, ainsi qu’aux actions de plaidoyer – la CIDSE en tant que réseau a organisé trois grands événements qui ont réuni ses membres, étant parfois également co-organisateurs, à savoir : une exposition photo, une projection de notre documentaire « L’énergie du changement » (mentionné dans la colonne « Récits » de cette rubrique du rapport annuel), et un panel de journalistes consacré à la communication autour des modes de vie durables.

Au plus fort de la pandémie, nous avons soutenu et contribué à plusieurs déclarations appelant à « reconstruire en mieux ». Nous nous sommes mobilisés pour concrétiser collectivement la vision commune d’une société européenne socialement juste, féministe, durable, démocratique et inclusive. Nous avons plaidé pour l’annulation de la dette en ces temps particulièrement difficiles pour les pays les plus pauvres. Cela s’est notamment traduit par la publication d’une lettre ouverte des OSC intitulée « 5 principles for a #JustRecovery from COVID-19 » et d’une lettre ouverte des OSC européennes intitulée « For a Europe that cares for all – during the COVID-19 pandemic and beyond ».

Avec d’autres organisations confessionnelles, nous avons rédigé un message interconfessionnel à l’occasion de la Journée de la Terre, qui abordait également le report de la conférence sur le changement climatique (COP 26).

Nous avons par ailleurs souscrit à un appel en faveur de l’annulation de la dette en cette période de COVID, ainsi qu’à une initiative de dignitaires de l’Église à propos de la dette, en amont des réunions annuelles de la Banque mondiale et du Fonds monétaire international. Ces initiatives ont été suivies d’un appel au G20 pour que soit décrété un moratoire sur la dette.

Nous avons également soutenu la déclaration des organisations membres de l’Alliance du Traité en réponse à la crise de la COVID-19.

Nous avons profité du Temps de la Création qui se tient chaque année au mois de septembre pour unir nos forces à celles du Mouvement catholique mondial pour le climat afin d’organiser un webinaire explorant les corrélations entre la crise de la COVID-19 et la crise environnementale, et les voies et moyens de définir des approches régionales en faveur d’une transition juste vers l’écologie intégrale.

Le mouvement Black Lives Matter a soulevé pour nous des questions difficiles. Nous les avons explorées à travers un blogue de Josianne Gauthier, notre Secrétaire générale et un autre blogue de Marianne Pötter-Jantzen, collaboratrice de notre organisation membre allemande, MISEREOR.

Josianne Gauthier a par ailleurs rédigé « Fratelli Tutti – La politique comme acte d’amour et de Courage » et a été interviewée par Salt And Light, une émission de la télévision canadienne, au sujet de la nouvelle encyclique.

Lorsque Fratelli Tutti, la nouvelle encyclique a été publiée, les membres de la CIDSE se sont réunis pour en analyser les enseignements. L’ensemble du réseau a salué les propos du Saint-Père.

Dans une étude, Trócaire, l’organisation membre irlandaise de la CIDSE, a analysé les répercussions sexo-spécifiques des investissements à grande échelle dans les secteurs de l’extraction, de l’hydro-électricité et de l’agro-industrie.

Un numéro spécial de Farming Matters met en avant le féminisme intersectionnel et les cosmologies autochtones couplées à l’agroécologie.

La CIDSE a organisé deux ateliers en ligne avec ses partenaires – « les dialogues sur le changement systémique » – afin de partager des expériences de communication et de partenariats mondiaux transformatifs.

Pour marquer le lancement d’un numéro spécial du magazine Farming Matters consacré au féminisme et à l’agroécologie, nous avons organisé un webinaire avec des praticiens et des militants africains, latino-américains et nord-américains de premier plan qui nous ont livré leurs expériences et débattu de divers sujets liés à l’agroécologie, à l’économie et au féminisme.

Crédits photos 

En todo el mundo, la pandemia de la COVID-19 empeoró las condiciones de vida ya imposibles de comunidades vulnerables víctimas de opresión en conflictos relacionados con los recursos. Amal Sayam, activista y defensora de los derechos de las mujeres en Gaza, compartió experiencias familiares: mujeres atrapadas en situaciones de violencia doméstica, con cargas de cuidados adicionales y precariedad económica. Otra investigadora se centró en la vulnerabilidad concreta de Gaza frente a la pandemia, al constituir el bloqueo un doble confinamiento, sin olvidar el profundo dolor emocional que ocasionan las restricciones continuas y cada vez mayores.

El 22 de junio de 2020, Kone Massa, portavoz de Global Convergence of Land and Water Struggles – West Africa (CGLWS WA) fue atacado. Una larga lista de signatarios, incluido CIDSE, expresaron su preocupación por su seguridad y manifestaron su solidaridad con los activistas de todo el mundo que luchan por la justicia en torno a los recursos.

Para animar a los voluntarios a que se sumaran a la huelga climática en línea, nuestra iniciativa “Cambiemos por el planeta, cuidemos a las personas” elaboró este vídeo.

Incluso durante la pandemia, los voluntarios se reunieron en Italia para aprender más sobre lo que pueden hacer en sus vidas y comunidades a favor de la transición ecológica. Una voluntaria escribió una entrada de blog sobre su experiencia.

Celebramos los 5 años de la iniciativa “Cambiemos y Cuidemos” y escribimos un artículo para repasar los logros.

Vir(a)gens, un breve documental de FEC, organización miembro de CIDSE portuguesa, narra historias de resiliencia y activismo climático en Portugal y Mozambique. Se presentó el 18 de junio en un webinario en el que participaron el eurodiputado portugués Carlos Zorrinho, Graça Carvalho y José Gusmão.

Nuestra secretaria general Josianne Gauthier otorgó una entrevista a nuestro aliado JESC sobre la ecología integral.

Como parte de nuestro enfoque de cambio sistémico, la secretaría de CIDSE ha procedido a evaluar el impacto ecológico de nuestro comportamiento en la oficina. Iniciamos una consulta a nuestros miembros sobre cómo están analizando y ajustando su impacto ecológico. Las lecciones aprendidas en el marco de esta consulta se publicaron en la “Huella ecológica de CIDSE”. En el sitio web se comparten testimonios y consejos para introducir cambios en relación con los viajes, las actividades, los eventos y la oficina misma, para un menor consumo de material.

Para anunciar y compartir la publicación de la “Huella ecológica de CIDSE” celebramos un webinario con nuestros miembros.

Entre julio y octubre, se organizaron campamentos nacionales sobre estilos de vida sostenibles en Alemania, España, Italia, Suiza, Reino Unido y Eslovaquia.

Del 18 al 28 de mayo se celebró la semana de acción de Laudato Si’ con motivo del quinto aniversario de la encíclica. Coorganizamos un webinario con la Familia Franciscana Internacional, Iglesias y Minería y el Movimiento Católico Mundial por el Clima sobre el impacto del extractivismo y la necesidad de una conversión ecológica.

Representantes de las Conferencias Episcopales, así como de organizaciones y movimientos católicos, celebraron en Bruselas la Tercera Jornada de Reflexión sobre Laudato Si’ el 28 de mayo.

Entrevistamos a una joven activista climática en el Día Internacional de la Mujer para debatir sobre las fortalezas y las luchas de las mujeres en el movimiento climático.

Invitamos a compañeras de la Fundación Heinrich Böll a presentarnos una perspectiva crítica feminista sobre el Pacto Verde Europeo en una entrada de blog.

Para animar a los voluntarios a que se sumaron a la huelga climática en línea, nuestra iniciativa “Cambiemos por el planeta, cuidemos a las personas” elaboró un vídeo.

Resumimos nuestro webinario con actores confesionales, movimientos del Sur y científicos sobre la COVID y la crisis climática en un vídeo de 5 minutos.

CIDSE copublicó una nota informativa conjunta de 14 ONG centradas en el clima, el medio ambiente y el desarrollo, para ofrecer una serie de recomendaciones como respuesta a la comunicación de la Comisión Europea sobre el Pacto Verde de la UE. En la nota informativa se presentan una serie de principios rectores y recomendaciones políticas para que la Comisión Europea tenga debidamente en cuenta a la población de los países socios de la UE, el clima y la biodiversidad.

Tras posponerse la COP26, supimos reaccionar rápido y recalcar la urgencia de seguir adelante con acciones contra el cambio climático a través de un comunicado de prensa. También nos sumamos a un mensaje interconfesional con motivo del Día Internacional de la Tierra sobre el mismo tema.

Nuestra asesora política principal sobre justicia climática, Chiara Martinelli, también publicó un artículo de opinión en “Earth Beat” sobre lo que la pandemia nos puede enseñar sobre acción climática.

CIDSE y la coalición hicieron publicidad sobre la campaña en el Financial Times para concienciar sobre el éxito de la petición: 847.000 ciudadanos habían alzado la voz contra el sistema de resolución de litigios entre inversores y Estados. Este anuncio tenía como público objetivo a la élite que conforman los lectores del periódico, responsables políticos y actores corporativos.  Se utilizó también la petición a lo largo del año en reuniones con políticos de la UE. 

#STOPISDS campaign made it to the Financial Times. We won’t let the voice of 847.000 citizens unheard! We demand mandatory #HumanRights #duediligence law at #EU level -strong #BindingTreaty at #UN level – Stop #ISDS @FOEEurope @TNInstitute @milieudefensie pic.twitter.com/U6j5F3D7NG

— CIDSE (@CIDSE) February 3, 2020

El Comité de Enlace Interreligioso reunió a diferentes actores para debatir sobre acciones confesionales de cara a la preparación de la COP26. En coalición con CIDSE, se organizaron una serie de tres webinarios sobre diferentes tradiciones religiosas, la agenda de la COP26 e historias de esperanza en acción.

En asociación con la Comisión Vaticana COVID-19, de la que forma parte CIDSE -al igual que el Instituto Postdam para la Investigación sobre el Impacto Climático, CAFOD, el Movimiento Católico Mundial por el Clima, COMECE y Caritas Internationalis- organizamos un webinario para lanzar un debate entre los actores del Sur, científicos y actores confesionales sobre enfoques comunes ante la crisis climática y de la COVID-19.

En enero, para el lanzamiento de la campaña, los activistas se disfrazaron de lobos corporativos e invadieron las calles de Davos durante el Foro Económico Mundial (WEF). 

Celebramos una carrera simbólica entre las empresas y los ciudadanos y entregamos nuestra petición a Frans Timmermans, vicepresidente de la Comisión Europea. 

La preparación de la nota informativa “Finance for agroecology, more than just a dream?” se promovió a través de diferentes medios, con una portada original ilustrada y una infografía; la elaboración de material de prensa, incluyendo un comunicado de prensa; un artículo de opinión, así como un artículo informativo; además de su difusión en las redes sociales.

There’s a gap between discourse and finance for a just and sustainable food system. #Agroecology projects receive just 3% from the EU financial contribution for @FAOBrussels/@IFAD and @WFP_Europe, and 20% from the @theGCF.

Read our briefing: https://t.co/2JclH3spiG pic.twitter.com/82udibJZth

— CIDSE (@CIDSE) September 30, 2020

A través de nuestra colaboración estratégica con Agricultures Network y Cultivate!, desarrollamos nuestro trabajo sobre la agroecología y el género con un número especial de la revista “Farming Matters”, dedicado a los temas interconectados con las economías alternativas, el feminismo y la agroecología. En la edición final, que tomó un año de elaboración, encontramos una serie de historias variadas y enriquecedoras provenientes del terreno, completadas por un análisis sistémico. En el webinario organizado para el lanzamiento de la revista, realizamos también un resumen gráfico del debate en el que se muestra la interseccionalidad entre la agroecología y el feminismo.

Anabel Torres, fundadora y directora del Centro de Comunicación y Educación Popular (CANTERA), compartió con nosotros un artículo de blog sobre su experiencia en el desarrollo de procesos para el empoderamiento de mujeres y hombres, la promoción de la igualdad de género y el desarrollo de la agroecología en comunidades rurales en municipios de Nicaragua.

En un artículo de opinión publicado originalmente en ARC2020, criticamos las falsas soluciones en la estrategia de la UE de la granja a la mesa, así como en el actual Pacto Verde.

Publicamos un anuncio en el “EU observer” (p.38) para llamar la atención de los responsables políticos sobre nuestra investigación sobre agroecología y finanzas.

CIDSE inició una evaluación de los flujos financieros destinados a la agroecología (analizando toda la cartera del Fondo Verde para el Clima y las contribuciones de la UE al FIDA, a la FAO y al PMA). Publicamos una nota informativa para destacar las conclusiones principales del estudio “Finance for agroecology: more than a dream?” para contribuir al corpus creciente de datos sobre la falta de financiación de la agroecología a nivel nacional o internacional. Se empleó para iniciar conversaciones con representantes clave de las partes interesadas.

CIDSE se sumó a la Coalición sobre la Política Alimentaria de la UE y apoyó oficialmente varios llamados y declaraciones como el documento político “Aumento de la ambición sobre los aspectos globales en la estrategia de la UE de la granja a la mesa”.

CIDSE firmó una carta conjunta de las OSC a António Guterres, secretario general de Naciones Unidas, para criticar la Cumbre sobre los Sistemas Alimentarios de Naciones Unidas por su exclusión de la FAO y de los movimientos agrícolas en su organización principal entre el Foro Económico Mundial y la sede principal de Naciones Unidas.

La tercera Conferencia Ministerial sobre Agricultura UA-UE se celebró el junio de 2019. El compromiso asumido puede beneficiar a pequeños agricultores, jóvenes y mujeres y reconoce los sistemas alimentarios territoriales, la agroecología y la agrosilvicultura como enfoques válidos. Sin embargo, no regula el comercio y las empresas que podrían minar los beneficios. CIDSE se sumó a estas recomendaciones para los sistemas alimentarios dirigidos a la cumbre UE-UA.

El trabajo de incidencia sobre Israel y el territorio palestino ocupado en 2020, se centró en la amenaza del gobierno israelí de anexionar partes de Cisjordania. En colaboración con otras OSC con sede en Bruselas, CIDSE firmó varias cartas y declaraciones para informar y exigir que la UE tomara medidas contra la inminente anexión ante momentos clave de toma de decisiones en la institución.

CIDSE también denunció el plan “Paz para la Prosperidad”, desarrollado por Estados Unidos, que cumple perfectamente la agenda israelí, sin respetar en absoluto la dignidad y los derechos de los palestinos.

Ante el sistema de atención sanitaria precario y frágil en el territorio palestino ocupado, ACT Alliance-EU y CIDSE publicaron una declaración para instar a la UE a proporcionar fondos de emergencia y a ejercer presión sobre las autoridades israelíes para poner fin a las restricciones de movimiento y a la confiscación de propiedad.

Para nutrir la cumbre UE-UA pospuesta, CIDSE coorganizó y cofirmó una declaración de la sociedad civil africana sobre la Asociación África-Unión Europea.

Pese a las demoras en los intercambios que facilitamos entre actores africanos sobre las experiencias de género en torno a los derechos sobre la tierra, nuestro miembro Trócaire publicó un estudio sobre “El impacto de género sobre inversiones a gran escala en la tierra y la respuesta de las mujeres”.

Al desarrollar nuestra sinergia continua en torno al trabajo de incidencia sobre la tierra, las empresas y los derechos humanos, nuestra organización miembro Entraide et Fraternité publicó un estudio sobre las violaciones de la empresa belga SIAT, uno de los principales propietarios de plantaciones de aceite de palma en África. SIAT estaba implicada en acciones de acaparamiento de la tierra, contaminación con insumos agrícolas industriales y deforestación, amenazando así la producción y el acceso a alimentos locales, así como la salud de los habitantes.

Los primeros días tras el derrumbe de la presa de Brumadinho, publicamos una declaración, reuniendo los recursos y las investigaciones de nuestras copartes y miembros y para mostrar este caso de injusticia, con la información que teníamos hasta el momento.  

Tras la visita del Secretario del Dicasterio para el Servicio del Desarrollo Humano Integral, Mons. Bruno-Marie Duffé, a la comunidad de Brumadinho, escribimos un artículo en la web sobre sus reflexiones y el significado de su visita para la comunidad. También apoyamos a Iglesias y Minería con la traducción del vídeo que realizaron para transmitir el significado espiritual de la visita.  

En la 40ª sesión del Consejo de Derechos Humanos, coorganizamos con nuestras copartes un debate sobre los desastres mineros en Brasil y en la República Democrática del Congo, para mostrar que estas catástrofes no se ven provocadas solo por políticas nacionales, sino que son inherentes a las operaciones mundiales del sector minero. 

En septiembre, se celebró en Roma el seminario Justicia, Paz e Integridad de la Creación (JPIC, por sus siglas en inglés) sobre la actividad minera, que brindó la oportunidad de ahondar en la reflexión con nuestros aliados, miembros y copartes.  El seminario constituyó un seguimiento del Foro Social Temático sobre la Minería y el Extractivismo, llevando el debate sobre las alternativas a Roma, con la participación de un representante del Dicasterio para el Servicio del Desarrollo Humano Integral.  

CIDSE asistió a la Asamblea General de Iglesias y Minería en Argentina, junto con sesenta laicos, obispos, sacerdotes, religiosos y pastores, hombres y mujeres, de 10 países de las Américas (Argentina, Brasil, Chile, Colombia, El Salvador, Ecuador, Guatemala, Honduras, México y Perú) y el Reino Unido. Lee la carta abierta a las comunidades afectadas que surgió de la reunión. El personal de CIDSE y nuestros miembros visitaron también Brumadinho para ser testigos de primera mano del impacto y escuchar los testimonios de la comunidad. 

Nuestros aliados en COMECE acogieron un diálogo entre CIDSE, nuestras copartes brasileñas, la Iglesia y los representantes de la UE. La reunión analizó formas de apoyar a las comunidades indígenas a acceder a la tierra y a proteger el legado cultural y natural de la Amazonia en el contexto de las negociaciones en curso sobre el Acuerdo de Asociación entre la UE y Mercosur, la revisión del Plan de Acción de la UE sobre derechos humanos y democracia, así como el Tratado vinculante de Naciones Unidas sobre empresas y derechos humanos. 

Dos cardenales de alto nivel publicaron un artículo de opinión en el “EU Observer” para apoyar la declaración de los obispos sobre la legislación de la UE en materia de diligencia debida.

Al igual que los obispos, muchas mujeres de la Iglesia, incluida la Hna. Mary John Mananzan, apoyaron la lucha contra los abusos de las empresas, alzándose como figuras claves en la lucha por la justicia. Colaboró con el blog sobre igualdad de género con el artículo “El lugar de las mujeres está en la lucha”.

El Tratado de las Naciones Unidas sobre empresas y derechos humanos y su papel clave en casos como el de Cerrejón, Colombia, se analizó a través de una entrevista con representantes de CINEP.

En el quinto aniversario de la ruptura de la represa de Fundão en el municipio de Mariana en Minas Gerais, Brasil, analizamos de nuevo el caso en un artículo. Sigue impune.

Realizamos trabajos de incidencia para el refuerzo de los marcos jurídicos para promover unas actividades empresariales responsables a través de la fijación de obligaciones claras para todos.

CIDSE presentó una contribución al OEIGWG (Grupo de trabajo intergubernamental de composición abierta sobre las empresas transnacionales y otras empresas comerciales) sobre los derechos humanos como parte de nuestro compromiso continuo con el proceso de redacción de un tratado de Naciones Unidas sobre las empresas y los derechos humanos. También elaboramos recomendaciones de cara a la sexta sesión del OEIGWG en octubre.

Apoyados por CIDSE, más de 230 obispos pidieron la diligencia debida obligatoria de la cadena de suministros a través de una declaración de obispos.

🚩❗️❗️ In today’s @FT + than 300 Members of Parliaments worldwide urge States to actively engage in the UN #BindingTreaty to ensure that people’s dignity & rights are prioritised over private profits >See here their: https://t.co/6Tvtcgx1Es
⏰Time to #StopCorporateImpunity ! pic.twitter.com/n8tQozgege

— Dismantle Corp Power (@StopTNCimpunity) October 27, 2020

Antes de la sesión de Naciones Unidas en Ginebra, hicimos oír nuestra voz e instamos a que se priorizara y garantizara la dignidad de las personas en todo el mundo con un anuncio en el Financial Times.

Con todos nuestros aliados presentamos una propuesta de elementos clave que la sociedad civil considera necesario incluir en la legislación obligatoria de la UE sobre la diligencia debida.

A través de un estudio del acuerdo comercial de la UE Mercosur, alertamos sobre el hecho de que supone una amenaza a los derechos humanos, la protección ambiental y el clima.

Coordinamos y proporcionamos nuestra colaboración en el marco de la declaración de los obispos de África Occidental para apoyar el Tratado de las Naciones Unidas sobre las empresas y los derechos humanos.

Conmemoramos el triste primer aniversario de la catástrofe de la presa de Brumadinho y apoyamos la campaña “Enero marrón”.

Entregamos al Comisario de Justicia de la Comisión Europea un proyecto de recomendación para una legislación sobre los principios de diligencia debida de la Unión Europea, sobre la diligencia debida obligatoria en materia de derechos humanos y medioambientales.

Organizamos el webinario “Poner fin a la avaricia: la interacción entre el respeto de los derechos humanos y la protección de la naturaleza” y participamos activamente en la sesión de octubre sobre el tratado vinculante en Ginebra, organizada en formato virtual por las Naciones Unidas.

La serie de webinarios mundiales sobre “El derecho a decir NO: aprender de las luchas globales” se centró en el derecho de las comunidades a defender su consentimiento en relación con la presencia de proyectos extractivos en sus territorios.

Junto con REPAM, CIDSE organizó una serie de visitas para periodistas por los proyectos y las comunidades de nuestras copartes en la Amazonia, cruzando las fronteras de Perú, Colombia y Brasil. Los periodistas y los medios fueron seleccionados por nuestros miembros, en función del idioma y de su especialidad. Tras el viaje, los periodistas publicaron un gran número de artículos y reportajes audiovisuales sobre el Sínodo y lo que podría significar para la región del Amazonas.  

Credit: Marta Isabel Gonzalez

El 14 de octubre, CIDSE contó con una representación directa en la rueda de prensa oficial sobre el Sínodo Panamazónico. Leer el comunicado de prensa completo. 

La preparación del sínodo comenzó con una conferencia internacional sobre la ecología integral en la Universidad de Georgetown en Washington D.C., convocada por REPAM, que sirvió para preparar a la red de CIDSE, a nuestros aliados y nuestras copartes para el sínodo. 

El Sínodo Panamazónico fue más que un evento, más que un proceso de despertar espiritual e incluso más que un encuentro colectivo de un gran número de actores sociales claves de la Iglesia católica en Sudamérica. Fue insuflar Laudato Si’ en un territorio específico y emblemático, en un momento en el que el mundo prestaba atención. 

Concretamente, el Sínodo para la Amazonía demostró ser una gran oportunidad para desarrollar nuestra red, compartir nuestra experiencia y contribuir a un auténtico cambio institucional. Pudimos constatar el impacto de nuestras contribuciones en el documento final y en los resultados (incluyendo el lenguaje sobre los estilos de vida sostenibles), así como en el seguimiento en 2020. 

Nuestra presencia en el Sínodo 

Entre los invitados especiales dentro del Sínodo se encontraban nuestra secretaria general, Josianne Gauthier, así como Mons. Pirmin Spiegel, director general de MISEREOR, miembro alemán de CIDSE. Las contribuciones de nuestros miembros han sido numerosas y diversas. Una delegación de CIDSE estuvo presente en Roma a lo largo del Sínodo y participó en una serie de actividades organizadas bajo el epígrafe de “Nuestro hogar común”.  

Más allá del impresionante trabajo de los miembros y las copartes individuales — apoyando el trabajo teológico, los momentos espirituales, así como la incidencia política — CIDSE organizó como red tres eventos principales, que reunieron a los miembros, también en calidad de coanfitriones. Se organizó una exposición fotográfica, una proyección de nuestro documental “Energía para cambiar” (mencionado en la columna “Historias” de este capítulo de nuestro informe anual), así como un debate con un panel de periodistas sobre cómo comunicar sobre los estilos de vida sostenibles. 

Cuando la pandemia golpeó duro, apoyamos y contribuimos a varios llamados para “reconstruir mejor”. Mostramos nuestro compromiso para trabajar juntos hacia una visión compartida de una Europa que se base en una sociedad inclusiva, democrática, sostenible, feminista y justa desde el punto de vista social. Defendimos la condonación de la deuda en un momento en el que los países más pobres atraviesan grandes dificultades. En este sentido, cabe destacar la carta abierta de las OSC “5 principios para una #RecuperaciónJusta del COVID-19″, así como una carta abierta de las OSC europeas “Por una Europa que no se olvida de nadie – durante la pandemia COVID-19 y después“.

Junto con otras organizaciones confesionales, elaboramos un Mensaje interconfesional para el Día Internacional de la Tierra en el que también se reflexionaba sobre la cancelación de la conferencia sobre el cambio climático, la COP 26.

También nos sumamos al llamado para la cancelación de la deuda durante la COVID-19, así como a la iniciativa sobre la deuda de los líderes eclesiásticos antes de las reuniones del Fondo Monetario Internacional y del Banco Mundial. Se siguió con un llamado al G20 a proceder a una moratoria de la deuda.

Nos sumamos igualmente a la Declaración de las organizaciones miembro de la Alianza para el Tratado como respuesta a la crisis de la COVID-19.

Durante la Temporada de la Creación, que tiene lugar cada año en septiembre, aunamos fuerzas con el Movimiento Católico Mundial por el Clima y celebramos un webinario para analizar el vínculo entre la crisis de la COVID-19 y la crisis medioambiental, y sobre cómo desarrollar enfoques para una transición justa hacia una ecología integral.

El movimiento Black Lives Matter planteó algunas cuestiones espinosas. Las analizamos en una entrada de blog de nuestra secretaria general Josianne Gauthier y también en otro artículo de Marianne Poetter, de MISEREOR, organización alemana miembro de CIDSE.

Josianne Gauthier también escribió “Fratelli Tutti – La política como un acto de amor y coraje” y fue entrevistada por el programa de televisión canadiense Salt And Light sobre la nueva encíclica.

Cuando se presentó la nueva encíclica, los miembros de CIDSE se reunieron para aprender de ella. Toda la red celebró las palabras del Papa.

Trócaire, organización irlandesa miembro de CIDSE, analizó en un estudio el impacto de género de las grandes extractivas, así como de las inversiones hidroeléctricas y agroindustriales.

Un número especial de “Farming Matters” permitió resaltar la interseccionalidad entre la agroecología y el feminismo y las cosmologías indígenas.

La red de CIDSE se reunió en línea con sus copartes para los “diálogos sobre el cambio sistémico” con el fin de compartir experiencias sobre la colaboración y las comunicaciones transformadoras.

Para marcar el lanzamiento de un número especial de la revista “Farming Matters” sobre el género y la agroecología, organizamos un webinario con profesionales y activistas líderes de África, América Latina y Norteamérica, quienes presentaron sus experiencias y debatieron sobre temas relacionados con la agroecología, la economía y el feminismo.

The COVID–19 pandemic exacerbated the already impossible living conditions of vulnerable communities confronting oppression in resource conflicts across the world. Amal Sayam, an activist and advocate for women’s rights in Gaza, shared familiar experiences: women trapped in situations of domestic abuse, with extra care burdens, and economic precarity. Another woman researcher focused on the particular vulnerability of Gaza to the pandemic while crushed under a blockade that constitutes a double confinement, and the profound emotional pain of ongoing increasing restrictions.  

On 22 June 2020, Kone Massa, spokesperson of the Global Convergence of Land and Water Struggles – West Africa (GCLWS WA) – was targeted in an attack. A long list of signatories, included CIDSE, expressed their attention to his safety and solidarity with activists struggling for resource justice across the world.

To get our volunteers excited to join the global online climate strike, our initiative Change for the Planet – Care for the People made this video.

Even during the pandemic, volunteers managed to gather together in Italy to learn more about what they can do in their lives and communities for the ecological transition. One volunteer wrote a blog about her experience.

We celebrated 5 years of the Change and Care initiative and wrote an article to review its achievements.

Vir(a)gens, a short documentary by our Portuguese member FEC, tells stories of resilience and climate activism in Portugal and Mozambique. It was launched on 18 June at a webinar with Portuguese MEPs Carlos Zorrinho, Graça Carvalho and José Gusmão.

Our Secretary-General Josianne Gauthier gave an interview to our ally JESC about integral ecology.

As a part of our systemic change approach, the CIDSE secretariat has undertaken a process of evaluating the ecological impacts of our office behaviours. We started a consultation with our members on how they are examining and adjusting their ecological impact. The learnings from this consultation were published in the CIDSE Ecological Footprint. The website shares testimonies and tips for adjusting travel, activities, events, and the office itself for less material consumption.

To announce and share the release of the CIDSE Ecological Footprint we held a webinar with members.

Between July and October, national camps on sustainable lifestyles took place in Germany, Spain, Italy, Switzerland, UK and Slovakia.

18-28 May was the Laudato Si’ week of action for the 5th anniversary of the encyclical. We co-organised a webinar with Franciscans International, Iglesias y Mineria and the Global Catholic Climate Movement about the impacts of extractivism and the need for an ecological conversion.

Representatives of European Bishops’ Conferences, as well as Catholic organisations and movements, held in Brussels the Third European Laudato Si’ Reflection Day on 28 May.

We interviewed a young woman climate activist for International Women’s Day to discuss the strengths and struggles of women in the climate movement.  

We invited women colleagues from the Heinrich Böll Foundation to give a critical feminist perspective on the European Green Deal in a blog post. 

To get our volunteers excited to join the global online climate strike, our initiative Change for the Planet – Care for the People made a video. 

We summarised our webinar between faith actors, southern movements and scientists about COVID and the climate crisis into a 5 minute video. 

CIDSE co-published a joint briefing by 14 climate, environment and development NGOs to offer a set of recommendations in response to the European Commission’s communication on the EU Green Deal. The briefing sets out guiding principles and policy recommendations to ensure the European Green Deal delivers for people in the EU’s partner countries, the climate and biodiversity. 

Following the postponement of COP26, we were quick to remark on the urgency to continue climate action in a statement. We also joined an interfaith message on Earth Day on the same subject. 

Our Senior Advisor on climate justice, Chiara Martinelli, also published an op-ed in Earth Beat about what the pandemic can teach us about climate action. 

The Interfaith Liaison Committee brought different faith actors together to discuss faith-based action in preparation for COP26. A series of three webinars about different faith traditions, the COP26 agenda and stories of hope in action was organised in coalition with CIDSE.  

In partnership with the Vatican COVID-19 Commission of which CIDSE is a part – as well as with the Potsdam Institute for Climate Impact Research, CAFOD, GCCM, COMECE, and Caritas Internationalis – we organised a webinar to discuss common approaches between southern actors, scientists and faith actors to the climate and COVID-19 crises.

CIDSE and a coalition advertised the campaign in the Financial Times raising awareness of the success of the petition: 847,000 citizens speaking out again ISDS. This advertisement was placed to target an elite readership of decision-makers and corporate actors.  The petition was also used throughout the year in meetings with EU politicians. 

#STOPISDS campaign made it to the Financial Times. We won’t let the voice of 847.000 citizens unheard! We demand mandatory #HumanRights #duediligence law at #EU level -strong #BindingTreaty at #UN level – Stop #ISDS @FOEEurope @TNInstitute @milieudefensie pic.twitter.com/U6j5F3D7NG

— CIDSE (@CIDSE) February 3, 2020

In January, for the launch of the campaign, campaigners dressed as corporate wolves invaded the streets of Davos on the sidelines of the World Economic Forum (WEF). 

We held a symbolic race between corporations and citizens for justice, and handed our petition to Frans Timmermans, vice president of the European Commission. 

The preparation of the briefing “Finance for agroecology, more than just a dream?” was promoted with media, including an original illustrated cover and an infographic, the drafting of press materials including a press release, an opinion article and an informative article, and social media diffusion. 

From our strategic partnership with the Agricultures Network and Cultivate!, we developed our work on agroecology and gender into a dedicated edition of the Farming Matters magazine on the interconnected issues of alternative economics, feminism and agroecology. The final edition, a year in development, is a colourful and enlightening series of stories from the ground complemented by systemic analysis. From the webinar to mark the launch of the magazine, we also produced a graphic recording of the discussion that depicts the intersection of agroecology and feminism. 

Anabel Torres, founder and Director of the Centre for Communication and Popular Education (CANTERA), shared with us a blog on her experience in developing processes of women and men’s empowerment, promotion of gender equity and development of agroecology in rural communities in municipalities in Nicaragua.

In an op-ed originally published with ARC2020, we criticise the false solutions in the EU Farm to Fork strategy in the current EU Green Deal.   

We published an ad in the EU observer (see p.38) to place our research on agroecology and finance in the attention space of decision-makers. 

CIDSE initiated an assessment of financial flows for agroecology (looking at the whole Green Climate Fund portfolio and at the EU contributions to IFAD, FAO, and the WFP). We published a briefing to highlight the main findings of this research “Finance for agroecology: more than just a dream?” adding ammunition to a growing body of evidence of the lack of funding for agroecology at national or international level. This was used to continue or start conversations with key representatives of the stakeholders targeted.  

 CIDSE joined the EU Food Policy Coalition and officially supported several calls and statements, such as the policy paper “Raising the ambition on global aspects of the EU Farm to Fork strategy”. 

CIDSE signed a joint letter from CSOs to United Nations Secretary-General Mr. António Guterres to critique the UN Food Systems Summit for its exclusion of the FAO and agricultural movements under its principal organisation between the World Economic Forum and the UN headquarters. 

The 3rd AU-EU Agriculture Ministerial Conference was held in June 2019. The commitment can benefit family farmers, youth and women, and acknowledges territorial food systems, agroecology and agroforestry as valid approaches, but fails to regulate trade and corporations which could undercut the benefits. CIDSE signed onto these recommendations for food systems addressed to the EU-AU summit.

The advocacy work around Israel and the occupied Palestinian territory in 2020 was mainly focused on the threat of the Israeli government to annex parts of the West Bank. In collaboration with other Brussels-based CSOs, CIDSE signed several letters and statements to inform and demand the EU to take measures against the impending annexation in light of key decision moments in the institution. 

CIDSE also denounced the “Peace-to-Prosperity” plan developed by the US which honors entirely the Israeli agenda with no regard for the dignity and rights of Palestinians.  

In light of the fragile and thin health care system in the occupied Palestinian territory, ACT Alliance–EU and CIDSE published a statement to ask the EU to supply emergency funds, and to put pressure on Israeli authorities to lift movement restrictions and stop property confiscations. 

To inform the EU-AU Africa summit postponed to later date, CIDSE co-organised and co-signed an African civil society declaration on the Africa-European Union partnership. 

Despite delays in the exchanges we were facilitating between African actors on the gendered experiences of land rights, our member Trócaire published a scoping study on “The gendered impacts of large-scale land based investments and women’s responses”.

In preparation for ongoing synergy of advocacy work between land, business, and human rights, our member Entraide et Fraternité published a study on the violations of the Belgian company SIAT, one of the biggest owners of palm oil plantations in Africa. SIAT was linked to land grabbing, pollution from industrial agricultural inputs, deforestation, thus threatening local food production and access and resident’s health.

In the first days following the collapse of the dam in Brumadinho, we released a statement to gather the resources and investigation of our partners and members, and to illustrate this case of injustice from what we knew so far.   

A video from our partners. 

Following the visit of the Secretary of the Dicastery for Promoting Integral Human Development, Msgr. Bruno-Marie Duffé, to the community of Brumadinho, we wrote a web article on his reflections and the meaning of his visit for the community. We also supported Iglesias y Mineria in the translations of the video they made to capture the spiritual meaning of the visit.  

With our partners at the 40th session of the Human Rights Council, we co-organized a discussion on mining disasters from Brazil and the Democratic Republic of Congo, to show that these disasters are not isolated by national policy, but are in fact inherent to the global operations of the mining sector. 

The Justice, Peace and Integrity of Creation (JPIC) seminar on mining held in Rome in September, provided an occasion to further deepen these reflections with allies, members and partners.  The seminar was a follow-up activity from the 2018 Thematic Social Forum on mining and the extractivist economy, bringing discussions on alternatives to Rome with the participation of a representative from the Dicastery for Promoting Integral Human Development.  

CIDSE attended the General Assembly of Iglesias y Minería in Argentina, together with sixty lay people, bishops, priests, religious and pastors men and women, from 10 countries of  America (Argentina, Brazil, Chile, Colombia, El Salvador, Ecuador, Guatemala, Honduras, Mexico and Peru) and the United Kingdom. Read the open letter to affected communities from the meeting. CIDSE staff and our members also visited Brumadinho to witness first- hand the impacts and hear the testimonies of the community. 

Our allies at COMECE hosted a dialogue between CIDSE, our Brazilian partners, and Church and EU representatives. The meeting analysed ways to support Indigenous communities to access land and protect the Amazonian cultural and natural heritage in the context of the ongoing negotiations on the EU-Mercosur Association Agreement, the review of the EU Action Plan on Human Rights and Democracy and the UN binding treaty on business and human rights. 

Two high level Cardinals published an op-ed in the EU Observer reenforcing the call of the Bishops’ statement on EU Due Diligence legislation. 

Like the bishops, a myriad of women within the Church, including Sr. Mary John Mananzan, support the struggle against corporate abuse and form a crucial part of the fight for justice. She contributed a gender blog, ‘The place of women is in the struggle‘.  

The crucial role of a UN Treaty on business and human rights for cases like the Cerrejón, Colombia was explored through an interview with representatives of CINEP. 

On the five–year anniversary of the Fundão tailings dam burst in the municipality of Mariana in Minas Gerais, Brazil, we reviewed the case in an article. Impunity still reigns.  

We advocated for strengthening legal frameworks to support responsible business activities by setting clear obligations for all. 

CIDSE submitted a contribution to the OEIGWG (open-ended intergovernmental working group on transnational corporations and other business enterprises) with respect to human rights as a part of our ongoing engagement in the drafting process of a UN Treaty on business and human rights. We also wrote recommendations before the 6th OEIGWG session in October. 

Supported by CIDSE, over 230 bishops asked for mandatory supply chain due diligence through a Bishops statement. 

Ahead of the UN session in Geneva, we made our voice heard and urged to ensure that people’s dignity is prioritised and guaranteed worldwide with an advertisement in the Financial Times. 

With allies we put forward a proposal of key elements that civil society considers necessary to include in the EU mandatory due diligence legislation. 

Through a study of the EU Mercosur trade agreement and an infographic, we warned that this deal threatens climate, environmental protection and human rights.

We coordinated and collaborated on the statement of West African Bishops in support of the UN Treaty on business and human rights.  

We celebrated the sad recurrence of the 1st anniversary of the Brumadinho dam disaster and supported the “Brown January” campaign.  

We gave the EC Justice Commissioner a draft recommendation of principles for the EU Due Diligrence legislation on mandatory human and environmental rights due diligence.

We organised the webinar “Putting an end to greed: the interaction between respect for human rights and the protection of nature” and actively took part in the virtual UN Geneva binding treaty October session. 

The global webinar series ‘Right to Say NO: Learning from Global Struggles’ focussed on the right of communities to defend their consent on the presence of extractive projects in their territories. 

Together with REPAM, CIDSE  arranged a tour for journalists of our partners’ projects and communities in the Amazon across the borders of Peru, Colombia and Brazil. The journalists and media channels were proposed by our members, and selected based on language and expertise. Following the tour, the journalists released a flood of media articles and audiovisual pieces on the Synod and what it could mean for the Amazon region.  

Credit: Marta Isabel Gonzalez

CIDSE was directly represented on October 14 in an official press briefing about the Amazon Synod. Read the full press release. 

The preparations for the Synod kicked off with an international conference on integral ecology at Georgetown University in Washington, D.C. – convened by REPAM – that prepared the CIDSE network, our allies and partners, for the Synod. 

The Pan-Amazonian Synod was more than an event, and still more than a process of spiritual awakening, it was more than a group encounter of so many key social actors of the Catholic Church in South America. It was Laudato Si’ being breathed into a specific, emblematic territory at a time when the world was paying attention. 

Concretely, the Synod on the Amazon proved to be an enormous opportunity to develop our network, share our expertise, and contribute to real institutional change. We saw the impact of our contributions in the final document and outcomes (including language on sustainable lifestyles), as well as in the follow-up which will continue in 2020.  

Our Presence at the Synod 

Among the special guests inside the Synod were our Secretary–General Josianne Gauthier  along with Msgr. Pirmin Spiegel, Director General of MISEREOR, CIDSE’s German member. The contributions of our members were numerous and diverse. A CIDSE delegation was present in Rome throughout the Synod, and involved in a series of activities organised under the umbrella “our Common Home”.  

Beyond the remarkable work of individual members and partners – supporting the theological work, the spiritual moments, as well as the advocacy actions – CIDSE as a network organised three principle events where members gathered and co-hosted. These were a photo exhibition, a screening of our documentary Energy to Change (mentioned in the Stories column of this chapter of our annual report), and a panel of journalists discussing how to communicate on sustainable lifestyles.

When the pandemic hit hard, we supported and contributed several calls for “building back better”. We showed our commitment to working together towards a shared vision of a Europe that is based on a socially just, feminist, sustainable, democratic and inclusive society. We advocated for debt cancellation in a particular time of hardship for poorer countries. These included the open letter from CSO’s “5 principles for a #JustRecovery from COVID-19“ and an open letter from European CSOs “For a Europe that cares for all – during the COVID-19 pandemic and beyond”. 

With other faith-based organisations we developed an Interfaith Earth Day message also reflecting on the cancellation of the COP 26 climate change conference. 

We also joined a call for debt cancellation in times of COVID as well as a Church leaders’ debt initiative ahead of the International Monetary Fund and World Bank annual meetings. These were followed by a call to the G20 for a debt moratorium. 

We also joined the Treaty Alliance member organisations’ statement in response to the COVID-19 crisis. 

During the Season of Creation, taking place every year in September, we joined forces with the Global Catholic Climate Movement and held a webinar exploring how the COVID-19 crisis and the environmental crisis are related, and how regional approaches to a just transition to integral ecology could be developed. 

The Black Lives Matter movement raised some difficult questions for us. We explored them through a blog by our secretary general, Josianne Gauthier, and one blog by Marianne Poetter, from our German member MISEREOR. 

 Josianne Gauthier also wrote a ‘Fratelli Tutti – Politics as an act of Love and Courage‘ and was interviewed by the Canadian TV programme Salt And Light about the new encyclical. 

When the new encyclical was released, CIDSE members gathered to learn from it. The whole network welcomed the Pope’s words. 

Trócaire, CIDSE’s Irish member organisation, analysed gendered impacts of large-scale extractives, hydropower and agribusiness investments in a study.  

A special issue of Farming Matters brings to the forefront intersectional feminism and indigenous cosmologies coupled with agroecology. 

The CIDSE network, together with partners, met online for the “systemic change dialogues” to share experiences of transformative partnerships and transformative communications.  

To mark the launch of a special issue of the Farming Matters magazine on gender and agroecology, we organised a webinar with leading practitioners and activists from Africa, Latin America and North America who expounded on their experiences and debated on the issues of agroecology, economics and feminism.